Qui est Dorothée, accompagnatrice des dynamiques collectives et coworkeuse à Villard-de-Lans

Dorothée, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Dorothée Baranger, et j’habite à Villard-de-Lans depuis 7 ans maintenant. Je suis arrivée en famille, depuis la région parisienne et après une courte transition dans les Hautes-Alpes. Je m’émerveille tous les jours d’habiter ce cadre magnifique qu’est le nôtre, qui m’apaise et m’inspire au quotidien. Je suis quelqu’un d’assez contemplative – en cohérence avec ma pratique du tai chi chuan ou du modelage de l’argile. Mais j’aime aussi faire des pointes de vitesse en ski de fond ou vélo de route :). Et pour associer les deux, je ne dis jamais non à un peu d’itinérance à vélo…

Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

Cela fait 20 ans que j’accompagne des organisations dans la mise en place et la conduite de leurs projets en alliant efficacité des processus et outils, et écoute des équipes. D’abord dans des entreprises privées sur des projets d’organisation et d’informatique, j’ai ensuite découvert en quittant la région parisienne le milieu associatif où j’ai travaillé à la coordination de structures et l’animation de réseau. Ça a été une belle opportunité de consolider ma pratique de l’intelligence collective que j’utilise en séminaire de travail, ou en séance de co-développement par exemple. Pour être encore plus pertinente, je me suis formée à des outils de coaching permettant de créer les conditions nécessaires à la bonne santé d’un collectif (comme apaiser des tensions, communiquer autrement, réaligner les rôles et être à l’écoute des ressentis). Bref, je suis une sorte de couteau-suisse pour dynamiques collectives ayant besoin d’un coup de pouce !

Mes terrains de jeu de prédilection sont les projets de transition sociale et écologique, les projets de territoires, les projets de mise en lien.

Indépendante depuis 7 ans, j’intègre à cette rentrée 2024 la coopérative d’activité 3Bis à Grenoble, avec l’ambition d’augmenter mon activité et d’élargir ma base de partenaires – pourquoi pas aller plus vers les collectivités par exemple ?

Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers l’accompagnement des dynamiques collectives?

La première est l’ouverture, la curiosité. Dans un monde où tout est fait pour caricaturer et d’opposer, les espaces de création collective peuvent être (doivent être ?) le lieu d’écoute de l’autre qui n’a pas le même avis que moi. Laisser la possibilité que je sois touchée et que j’apprenne quelque chose, et offrir à l’autre la possibilité d’être écouté. C’est un point fondamental pour moi, sans aucun doute très lié au fait d’avoir grandi au carrefour de cultures très différentes !

Je tiens beaucoup aussi à l’authenticité – qui est pourtant difficile à mettre en œuvre car elle nécessite un niveau de confiance important. Et pourtant sans authenticité on reste à la surface des choses, il reste des non-dits, et on va moins loin dans le résultat collectif final.

Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

dorothee.baranger@etik.com – 0677639056 – Profil Linkedin Dorothée Baranger

Parlons du coworking à Villard-de-Lans

Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?

Je fréquente Utopic depuis un an environ, à l’Espace de Villard.

Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans un espace partagé ?

J’avais la double envie (un peu contradictoire !) d’avoir un espace de concentration quand je dois produire sur un livrable dans un temps imparti, et en même temps de partager des moments informels  avec d’autres coworkers.

Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ?

Mes attentes sont comblées : je rencontre d’autres co-workeurs et j’ai pu en plus bénéficier de temps collectif sur des thématiques intéressantes comme l’utilisation des réseaux sociaux par exemple.

Quels bénéfices vois-tu à titre personnel ? 

Je travaille beaucoup depuis chez moi avec des interlocuteurs à distance. Le co-working permet de rencontrer et d’échanger avec d’autres professionnels en chair et en os. Également de rester en lien et de savoir ce qu’il se passe sur le plateau.

Un dernier mot à partager ? 

Vive la mise en lien !

Qui est Elodie, artiste, professeur de yoga et coworkeuse à Villard-de-Lans

Elodie, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Elodie Cadol. J’habite à Villard-de-Lans depuis 2 ans. J’ai découvert  le Vercors en 2018 et je suis tout de suite tombée amoureuse de la région. J’ai aimé l’environnement et la dynamique associative.

Par ailleurs, j’ai vécu dans des grosses villes et capitales. J’ai été artiste et directrice de compagnies de spectacle pendant plus de 15 ans, impliquant un niveau de stress important. J’ai décidé de sortir de cette logique de productivité artistique afin de me consacrer à la transmission de mes pratiques pour des publics en situation de fragilité. Je me suis ainsi installée à Villard-de-Lans en 2022.

Peux-tu me parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

Aujourd’hui je suis éducatrice somatique (soma = le corps). J’ accompagne les personnes à affiner l’écoute de leur corps et leur ressenti dans un but de mieux-être physique, mental et émotionnel. Je suis également  professeure de mouvements et de yoga, coach Sport santé certifiée DeGasquet®.

Je suis également directrice du projet associatif Conscience Nutrition et Mouvement, qui se définit comme Ecole itinérante du bien-être et du sport-santé, accessible au plus grand nombre. L’objectif est de prévenir des risques de santé et d’améliorer le quotidien en :

  • œuvrant pour l’inclusion des disciplines de bien-être, dans le sport santé et les activités physiques adaptées afin qu’elles soient reconnues comme complémentaires aux parcours de soin. 
  • rendant accessible les pratiques corporelles “douces, sensibles et conscientes” aux personnes qui en ont besoin : personnes isolées, fragiles, les seniors, les aidants, les personnes en burn out, atteintes de maladies chroniques, d’affections de longue durée… 

Très concrètement, cela passe par le remboursement et la prise en charge des activités que nous proposons dans notre axe “prévention santé”. Nous organisons ainsi des cours particuliers et cours collectifs sur Lans-en-Vercors, Saint-Nizier et Villard-de-Lans. Nous organisons également des événements sur tout le plateau et développons les propositions pédagogiques pour les instituts médicalisés et les soignants. 

Je travaille aussi à développer une méthodologie et une approche pédagogique orientée sur la sensorialité. Ou comment à travers une structure, on peut orienter la pédagogie et la transmission pour favoriser le bien être.

L’ enjeu de ce projet est un vrai sac de nœud à démêler, car déjà, dans l’appellation “sport-santé” nous avons un problème, puisque la pratique sportive est décrite comme performative et compétitive. On devrait plutôt parler d’activités physiques adaptées et santé. Cela serait plus cohérent à l’inclusion des pratiques corporelles comme l’éducation somatique, le yoga, la danse, la méthode Feldenkrais®…qui comprennent des aspects philosophiques et sont considérés comme culturelles et non sportives…même si cela commence à entrer dans les disciplines de sport santé. Il y a donc encore pas mal de chemin à parcourir, mais tout cela est passionnant.

Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités – projet ?

Je m’intéresse aux implications politiques, sanitaires et sociales que mes pratiques impliquent. J’ai la conviction des apports de la créativité et des activités corporelles et physiques pour la santé. Elles permettent de s’ouvrir à soi-même, aux autres, à l’environnement et de tisser des liens. J’ai envie de partager l’exploration des notions de sensible et de sensorialité à travers mes activités à travers une pédagogie bienveillante.

J’ai l’envie d’aller vers un monde plus équitable et solidaire, moins rapide et moins compétitif. Je le souhaite plus apaisé pour nous-mêmes et pour l’environnement. 

Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

Parlons du coworking à Villard-de-Lans

Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?

Un peu moins d’un an.

Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés ?

Principalement, mon but était de rencontrer du monde. Je travaille bien seule mais j’avais besoin d’échanger, de partager, de me sociabiliser.

Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ? 

J’ai pu bénéficier d’une session de “Codev” ou accélérateur de projet, organisé par le collectif Sentiers communs dont Uto-Pic est membre. Ça a été très enrichissant de pouvoir avoir des retours de chacun sur mon projet et cela m’a aidé à défricher et avancer sur mes problématiques.

Les petits échanges entre coworkeurs sont motivants et enrichissants. J’ai rencontré d’autres porteurs de projet avec les mêmes problématiques et questionnements sur lesquels nous pouvons échanger.

Quels bénéfices vois-tu à titre personnel? 

Je rencontre du monde. Ça répond à mon besoin de sociabilisation.

Un dernier mot à partager ? 

Merci d’exister Uto-Pic !  Et merci à Naïs d’animer le réseau. Merci à tous les coworkeurs qui participent à la dynamique, à la Communauté de Communes qui soutient le projet et à toutes les personnes qui s’engagent dans le projet. 

Qui est Patrice, coworkeur à Lyon et à Autrans

Patrice, peux-tu te présenter ?

Je suis ingénieur en nouvelles technologies. J’ai d’abord travaillé chez HP, puis après avoir passé un Master of Business & Administration, j’ai fais du conseil en gestion relation client (gestion et relation des clients à grand compte). Puis, j’ai voulu revenir à la technique. J’ai rejoint une start-up dans la cybersécurité pour m’occuper des clients. La start-up a ensuite été rachetée par un grand groupe qui m’a proposé de continuer avec eux en tant que salarié. J’ai refusé et j’ai décidé de me lancer à mon compte. J’ai démarré en free lance pour cette même entreprise qui a été mon premier client. Depuis je développe mon réseau.

Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

Je propose des services de conseil, d’accompagnement et formation en cyber sécurité, de l’assistance à maîtrise d’œuvre et d’ouvrage, de la prestation technique (cartographie des réseaux industriels…). Je travaille autant avec des grands groupes et des industriels (Cisco, Schneider Electric), qu’avec de plus petites entreprises.

Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités ?

Le monde informatique est assez complexe et “rugueux” en terme de relation interpersonnelle. Je favorise l’écoute, l’attention et remet une dimension humaine dans des environnements de sécurité informatique, qui peuvent être parfois déshumanisés.

Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

www.bockconseil.fr  – contact@bockconseil.fr

Parlons du coworking à Autrans

Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?

Depuis que j’ai commencé à mon compte : depuis plus de 5 ans à la Cordée à Lyon. Je vais à Uto-Pic Autrans une fois par an pendant une semaine pour travailler en alternance avec des activités plein air.

Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés?

Principalement, trouver des moments de convivialité, ne pas être seul chez soi dans son bureau. Pour rencontrer du monde et créer du lien.

Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ? 

Parmi les bénéfices que j’observe : le développement de mon réseau au niveau des prestataires, notamment des graphistes ou pour de la rédaction technique. La cadre de travail permet une meilleure concentration et une efficacité dans les dossiers à traiter.

Quels bénéfices vois-tu à titre personnel? 

La motivation !!

Peux-tu nous raconter une pépite ou anecdote du coworking ?

Un anecdote cocasse, c’est qu’un jour où je me suis inscrit au Coworking d’Autrans et où il ne devait y avoir personne, je suis arrivé et il y avait 2 nouvelles personnes qui venaient pour la première fois. A un moment donné, je suis sorti par la fenêtre, ce qui a abasourdi les nouveaux venus qui ne savaient pas que c’était un passage convenu pour accéder à la terrasse. Je leur ai expliqué et cela nous a bien amusés.

Un dernier mot à partager ? 

Une fois que l’on est freelance, c’est difficile de reprendre un travail salarié. Pour compenser l’absence de travail avec des collègues, il faut trouver un lieu de coworking, essayer plusieurs espaces pour voir l’ambiance qui nous convient le mieux. Maintenant, dès que je me déplace pour aller voir des clients, je vais visiter et travailler dans différents espaces de coworking. Ce que j’aime avec Uto-Pic, c’est le côté détendu, écolo, similaire à l’esprit de La Cordée.

Qui est Fanny, productrice et coworkeuse à Villard-de-Lans

Fanny, peux-tu te présenter ?

Je me suis installée sur le plateau en juin 2023. Ça faisait très longtemps que j’avais envie d’habiter à la montagne. Et maintenant je partage mon temps entre Grenoble et le plateau. Je commence à rencontrer le milieu audiovisuel du plateau qui est étonnamment développé et j’en suis très heureuse.

Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

J’ai fondé il y a 11 ans, avec Evan Rouillard une production audiovisuelle qui se nomme Bokeh production, qui est basé à Grenoble et qui travaille partout en France et l’étranger.

Nous avons deux grandes activités : une partie qui produit des films de communication (publicité et réseaux sociaux) et une autre partie de documentaires et de programmes pour la télévision. Nous sommes spécialisé dans le milieu “outdoor” milieu montagne ainsi que dans le secteur culturel. On travaille notamment avec l’entreprise Petzl et la Biennale de la danse et d’art contemporain de Lyon.

Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités pro ?

Avec Bokeh production, on essaie d’avoir des production dans une démarche RSE, en tout cas d’envisager les productions pour qu’elles soient les moins coûteuses en carbone possible et les plus utiles socialement.  Par exemple, pour un projet au Maroc nous utilisons le bateau au lieu de l’avion. Pour une production avec Petzl, nous avons convaincu le client de faire les déplacements en transports en commun pour aller jusqu’en Grèce. C’est en effet plus cher et plus long, mais nous avons réussi à éviter l’avion.

Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

www.bokeh-production.fr  – bokeh_prod sur intagram – fanny@bokeh-production.fr

Parlons du coworking à Villard-de-Lans

Depuis combien de temps viens-tu au coworking à Villard-de-Lans ?

J’ai commencé en décembre 2023 et je viens 1 à 2 fois par semaine.

Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés ?

J’avais surtout envie de rencontrer des gens d’ici, sur le territoire pour faire du lien. Et avoir un confort de travail, une connexion qui fonctionne bien, des bureaux agréables.

Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui?

Je trouve ça très efficace de travailler 1 à 2 jours en dehors de mon bureau. Cela me permet de bien avancer sur mes dossiers, de me concentrer au calme. Mes attentes ont été comblées et les coworkeurs sont très sympas. Le bâtiment est super confortable et les locaux sont top. De plus, le fonctionnement à la carte est important pour moi et très pratique car mon planning change tout le temps. L’offre est bien pensée.

Peux-tu nous raconter une pépite/anecdote qui s’est passée au coworking ?

Je me suis rendue compte qu’une des personnes que l’on m’avait recommandée dans mon milieu professionnel, se trouve être le mari d’une de mes collègues (Blandine, interview à venir) de coworking à Uto-Pic !

Qui est Capucine, consultante RSE et coworkeuse à Villard-de-Lans

Capucine, peux-tu te présenter ? 

Je m’appelle Capucine Join-Lambert, je suis d’origine parisienne et j’ai posé mes valises sur le plateau du Vercors en 2010, principalement pour ce que le plateau offre pour l’éducation de mes enfants en termes de qualité de vie, d’environnement et de sécurité.

Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

Je suis consultante en Responsabilité Sociétale des Entreprise (RSE)  et en bilan carbone et je fais de la sensibilisation aux enjeux sociétaux et environnementaux.  En 2021, j’ai créé “Yama conseils” pour responsabiliser les individus et les organisations sur l’impact de leurs activités sur le vivant. Je partage mes semaines entre 60% de pro et 40% de bénévolat au niveau national mais aussi local avec Vert&Co et Sentiers communs

Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités ?

Les valeurs de Yama Conseil sont la coopération, la générosité et l’ intégrité.  Ce que je défend particulièrement est de considérer le vivant dans son ensemble, comme un tout. C’est à dire, la connexion avec la nature, le respect de l’environnement et le respect du vivant en général et également les relations inter-personnelles, l’égalité homme femme…

Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

www.yamaconseil.fr  – Mon profil Linkedincontact@yamaconseil.fr

Parlons du coworking à Villard-de-Lans

Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?

Je viens depuis septembre 2023.

Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés?

Mes attentes étaient surtout de sortir de l’isolement et de recréer une ambiance collective. J’ai trouvé des collègues, sans pour autant qu’on ait de liens hiérarchiques.

Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ?

Non seulement mes attentes ont été comblées, mais en plus je découvre que c’est très soutenant d’être entourée d’autres indépendants. Nous avons des problématiques communes. Parfois je me pose une question et quelqu’un d’autre dans la salle a une réponse à m’apporter de par la diversité des compétences que je rencontre au sein du coworking.

Le fait de pouvoir réserver à la carte apporte une souplesse vraiment appréciable. Mon emploi du temps varie beaucoup et c’est pratique de pouvoir venir quand on en a besoin et envie.

Quels bénéfices vois-tu à titre personnel? 

Le coworking équilibre mon activité d’indépendant en étant entourée de gens sympathiques. Il me permet d’être indépendante tout en ayant des collègues et en étant intégrée dans une communauté.

Qui est Axel, écologue, réalisateur et coworkeur à Autrans ?

Axel, peux-tu te présenter ?

Je m’appelle Axel Falguier, j’ai 42 ans, j’habite le Vercors depuis 10 ans. J’ai 2 casquettes. Je suis écologue de formation, j’ai d’abord travaillé 10 ans dans la gestion d’aires protégées. Je me suis reconverti en 2016 dans la réalisation de films autour des questions environnementales et de la place de nos activités humaines au sein de l’environnement.

Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

    Je réalise des films et à la vue de  mon passif, je cherche à créer des films comme des outils de médiation qui permettent aux gens de mieux comprendre les enjeux environnementaux et comment à travers nos activités humaines, on peut améliorer la manière dont on pratique nos activités.

    Ça peut par exemple, toucher à l’agriculture, à l’énergie, aux déchets, au sport , au tourisme. Je ne suis pas fermé à d’autres sujets, du moment que ça aide à aller vers une société un peu plus durable.

    Mon travail est diffusé sur internet et en salle de cinéma via des ciné-débat et de temps en temps à Uto-Pic !

    Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités et projets ?

      Des valeurs écologiques et sociales pour une société durable. Je souhaite aussi travailler s’en trop me prendre au sérieux, mais je ne suis pas sûr de le faire 😉

      Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

        Mon site internet avec ma filmographie :  www.axelfalguier.com  

        Je suis sur tous les réseaux sociaux, sur Facebook @AxelFalguierRealisateur, Insta axel.alguier, Linkedin.

        Voici un lien vers mon dernier film : “Rasco et nous”, un film sur les chiens de protection de troupeaux.

        Parlons du coworking à Autrans

        Depuis combien de temps viens-tu travailler au coworking ?

          Depuis 2017.

          Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés ?

            Je travaille beaucoup seul et donc j’ai besoin de sortir de chez moi, et sortir le travail de la maison.

            Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ?

              Il y a une chouette ambiance de travail. Je crée du réseau avec des gens du plateau pour travailler en local, être au courant de ce qui se passe sur le territoire m’est utile au niveau pro. Pour mes films j’ai besoin de discuter avec des gens, de savoir ce qui se trame, d’être au courant de la vie sociale et politique. Notamment en ce moment, pour un nouveau film sur les transitions en montagne.

              Le coworking est un lieu de mise en réseau pour le travail et le quotidien. Ça m’est arrivé de trouver du boulot à travers le cowork. J’ai réalisé une mission photos par exemple et avec Cédric et Christine, on a répondu à un appel d’offres ensemble.

              Quels bénéfices vois-tu à titre personnel ? 

                Je préserve ma santé mentale en évitant d’être enfermé chez moi. Je peux discuter avec d’autres personnes. 

                Le fait qu’il y ait 3 lieux permet de changer d’environnement et de croiser de nouvelles personnes. Si je ne venais qu’à Autrans, je croiserai moins de personnes. Ça me permet de se tenir au courant des activités culturelles ou sportives dans les jours à venir, savoir qu’il y a un spectacle à la bibliothèque dans 3 jours. Ça facilite la vie.

                Un dernier mot à partager ? 

                Je n’ai pas du tout envie que ça s’arrête. Il faut que ça continue à vivre et à exister. On a la chance sur ce territoire d’avoir un tissu associatif et social important. On est privilégiés.

                Qui est Camille, kinésiologue, énergéticenne et coworkeuse à Villard-de-Lans

                Camille, peux-tu te présenter ?

                Je suis Kinésiologue et énergéticienne de profession et également enseignante dans le domaine du développement personnel. Cela fait plus de 7 ans que j’ accompagne dans les besoins de transformations. Mon parcours de vie a toujours été en lien avec l’humain. Et c’est inscrit dans mon deuxième prénom japonais Tomoko, qui signifie fille de l’amitié. Je suis de nature curieuse, empathique et aventurière, j’aime découvrir, apprendre, m’enrichir. Cette vocation nourrit cette part de moi.

                Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

                J’accompagne les êtres vivants humains et animaux (les chiens, les chats, les chevaux) au travers de consultations individuelles, stages, de journées d’immersion et de retraites spirituelles. Le but étant de libérer le stress, les peurs, les blocages physiques, émotionnels, énergétiques et psychologiques, qui empêchent de trouver son équilibre de vie et d’être dans son plein potentiel. Ma philosophie est que “nous avons tous en nous cet état de profonde sérénité, nous en avons parfois juste égaré le chemin, je vous accompagne pour retrouver la voie”. Je reçois à Villard de Lans et Grenoble pour les consultations en cabinet et j’accompagne à distance pour tout le public francophone à travers le monde. A ce jour, j’ai accompagné plus de 3000 êtres vivants. 

                Je développe mes activités dans d’autres axes avec notamment une chaîne Youtube qui s’appelle “Au centre de l’être” dans laquelle je partage des outils, des clefs essentielles pour être serein au quotidien.

                Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités – projet ?

                Le fait d’être dans une conscience élargie de la vie sur terre qui permet d’accepter et d’accueillir le vivant dans sa complexité et sa richesse, d’avoir une sorte d’amour inconditionnel sans jugement qui permet d’éviter les étiquettes. Cela n’empêche pas d’être conscient de ses limites et des besoins de chacun afin de les respecter.

                D’arriver à trouver une forme d’équilibre en tous ces éléments. L’équilibre n’est pas quelque chose de figée, c’est une forme de danse qui s’inscrit dans le mouvement de l’évolution. 

                Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

                On peut trouver toutes les informations sur mon site : www.camille-regnault.fr

                Sur les réseaux : https://www.instagram.com/camilleregnault/ et Facebook

                Mail : bonjour@camille-regnault.fr

                Parlons du coworking à Villard-de-Lans

                Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?

                Depuis la rentrée de septembre 2023 et je viens 1 à 2 fois par semaine.

                Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés?

                J’avais un vrai besoin de sortir de mon isolement et d’être dans un lieu lumineux, spacieux, avec un espace dédié au travail. Pouvoir nourrir mon besoin d’appartenance en rejoignant un collectif. Pouvoir avoir des échanges avec d’autres professionnels indépendants. J’avais également une volonté de m’intégrer d’avantage sur le territoire en ouvrant mon réseau perso et pro.

                Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui? 

                J’en vois pas mal. Ça me permet de mettre du cadre dans mon organisation, de sortir de chez moi et de mon isolement, de trouver un rythme, d’être dans un espace dédié avec des équipements adaptés, de rencontrer et de partager. Aussi de renouveler ma dynamique et de créer de la nouveauté dans ma vie. Comme le dit Einstein « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent », c’est pourquoi j’aime essayer de nouvelles choses.

                Quels bénéfices vois-tu à titre personnel? 

                Je me sens plus vivante, plus intégrée, plus actrice. C’est plus léger.

                Peux-tu me raconter une pépite/anecdote du coworking ?

                Ce qui me vient c’est Daniel qui ne manque pas de partager sa tablette de chocolat avec grand cœur dès qu’il en a l’occasion, ce qui ravit mon enfant intérieur!

                Un dernier mot à partager ? 

                Merci au territoire de proposer ce service et ce lieu à des personnes comme moi. C’est vraiment un plus pour le territoire. Et merci beaucoup à Naïs, qui dans sa façon de gérer tout ça en fait quelque chose de beau!

                Qui est Muriel, écrivaine publique et coworkeuse à Autrans.

                Muriel, peux-tu te présenter ?

                Après 17 ans passés dans une entreprise de conseil en tant qu’assistante administrative, et le départ de mes enfants, il était temps, pour moi, de changer d’horizon. Je suis devenue écrivaine publique il y a 2 ans. J’ai créé mon activité à la suite d’un bilan de compétences et d’une formation Licence Pro Ecrivain Public. J’ai choisi ce métier car il m’est apparu comme une évidence. Il regroupait toutes mes attentes : contacts humains, vocation sociale, accompagnement, créativité, et représentait l’aboutissement de mon parcours tant professionnel que personnel.

                Et puis, je dirais que, cerise sur le gâteau, ce métier est très stimulant. Chaque jour m’apporte son lot de défis. Chaque contexte d’écriture que je rencontre est différent. À moi de trouver les mots justes, authentiques et convaincants pour répondre le plus efficacement possible aux besoins spécifiques de mes clients et les sortir de situations parfois inextricables.

                Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

                Mon activité s’adresse autant aux particuliers qu’aux institutionnels et professionnels. Il revêt de nombreuses formes, de la compréhension d’un formulaire administratif à la création artistique. J’ai participé, par exemple, à l’écriture d’un scénario de bandes dessinées.

                Pour les particuliers, j’écris des courriers administratifs, personnels, des CV… adaptés à leur objectif et leur interlocuteur. Je les accompagne dans les rouages de l’administration et dans la formulation de leurs idées. Il m’est arrivé également de les assister dans leur récit de vie.

                Pour les institutionnels, hormis mes prestations d’écriture, je contribue à leur mission de service public en proposant des permanences.

                Pour les professionnels, j’apporte mon expérience d’assistante administrative, à laquelle s’ajoute une casquette rédactionnelle : dossiers, newsletters, contenus web, notices techniques, présentations… J’ai également une expérience dans les réseaux sociaux, surtout LinkedIn.

                Pour résumer, j’accompagne et concrétise tout projet d’écriture, de l’idée à la correction.

                La plupart du temps, je travaille à distance. Mais il m’arrive de me déplacer à domicile, d’intervenir à l’Agopop ou dans une petite salle de la Brasserie du Vercors à Villard-de-lans.

                Quelles sont les valeurs que tu désires partager et / ou défendre à travers ton projet ?

                Je pense que la complexité croissante du monde, accentuée par les avancées technologiques, a rendu l’art de communiquer encore plus compliqué. Pour moi, grâce à mes compétences en écriture, l’idée est de rendre ce monde plus simple, plus cohérent, pour faciliter la vie des gens et leur apporter ainsi un peu plus d’occasions de sourire.

                Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

                J’ai un site internet www.maredac-ecrivainpublic.com que j’essaye d’améliorer petit à petit.

                J’ai également un compte LinkedIn, Facebook et Instagram. Je les utilise pour partager des infos, des coups de cœur…

                Pour me contacter, le plus simple est de m’envoyer un mail à l’adresse suivante : maredac.ecrivainpublic@gmail.com  en me précisant l’objet de la demande et un numéro de téléphone où je puisse vous joindre.

                Parlons du coworking

                Depuis combien de temps viens-tu au coworking ?
                J’ai commencé au printemps 2023 par l’Atelier du presse-citron, à Lans, mais ma curiosité m’a poussé à découvrir le site d’Autrans, l’Agora. En ce qui concerne l’espace de coworking du Télespace, à Villard, je le connais déjà. J’ai travaillé dans ses locaux pendant 17 ans en tant que salariée. Pour l’instant, j’ai un peu du mal à y revenir, même si j’apprécie la convivialité de ses coworkers et la synergie qu’ils ont su créer.

                Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans des espaces partagés ?
                Sortir de l’isolement, trouver une certaine dynamique, éviter la procrastination et m’immerger dans une ambiance de travail.

                Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ?
                En étant freelance on est le plus souvent tout seul et l’on peut vite se retrouver démuni face à des questionnements auxquels nous n’avons pas de réponse. Travailler dans un lieu où se trouvent d’autres indépendants m’a permis de bénéficier de leur expérience, notamment dans le cas de démarches commerciales ou de gestion de clients difficiles.

                Quels bénéfices vois-tu à titre personnel ?

                De la socialisation, des échanges humains, ou pouvoir tout simplement prendre un café et discuter de manière informelle, car c’est dans ces moments-là que peuvent surgir des idées, se créer des connexions.

                Un dernier mot à partager sur le coworking ?

                C’est une véritable chance pour nous, indépendants, d’avoir une association telle que Uto-Pic. Une association qui nous épaule, qui nous propose des lieux de rencontre, qui crée des évènements pour promouvoir nos activités et montrer le dynamisme de notre territoire.

                Qui est Eric, spécialiste de la fiscalité France – Canada, résident au Québec et coworkeur à Autrans

                Eric, peux-tu te présenter ?

                Portrait Eric Lescure, coworkeur à Autrans

                Je m’appelle Eric Lescure, je vie et travaille avec Virginie ma conjointe. Nous sommes français installés à Montréal depuis une quinzaine d’années. En France, nous avons travaillé dans le domaine de la comptabilité et de la gestion du patrimoine. Quand nous nous sommes installés au Canada, nous avons mis nos compétences au service de la communauté française.

                Peux-tu nous parler de ton ou tes activité.s professionnelle.s ?

                Nous avons créé le Cabinet Services d’Acadie qui est un cabinet comptable et fiscal spécialisé sur toutes les questions liées à la fiscalité France Canada .

                Nos clients sont des français, qui s’installent ou qui sont installés au Canada et ceux, qui, après une expatriation, sont de retour en France.

                Nous avons 3 activités principales : 

                • le conseil fiscal
                • la production de déclaration d’impôts 
                • la mise en conformité fiscale

                Le cabinet s’est également donné pour objectif de développer les connaissances des français installés au Canada au niveau du contexte fiscal Canadien. Dans ce cadre, nous publions des articles et animons régulièrement des webinaires.

                Quelles sont les valeurs que tu désires partager et ou défendre à travers tes activités – projets ?

                Nous avons 2 grandes valeurs :

                • Diffuser de la connaissance et partager de l’information en matière fiscale de manière gratuite
                • Développer la culture fiscale des français installés ou voulant s’installer au Canada

                Comment peut-on trouver plus d’infos et te contacter ?

                https://www.servicesdacadie.com/  –  https://www.servicesdacadie.com/le-blog-fiscal

                Parlons du coworking à Autrans

                Depuis combien de temps viens-tu au coworking à Autrans?

                Nous venons sur le site d’Autrans au moins depuis 2017. Je suis originaire de Grenoble, et nous venons régulièrement dans le Vercors à Autrans. Il nous fallait un lieu autre que la maison pour accueillir nos activités professionnelles que nous ne pouvons pas arrêter lors de nos déplacements.

                Quelles étaient tes attentes en venant travailler dans un espace partagé ?

                Très prosaïquement, il nous fallait du matériel qui corresponde techniquement à nos besoins. Nous utilisons des plateformes sécurisées, donc il ne faut pas qu’il y ait de conflit avec ces systèmes. Il était, également, important d’avoir une salle de visio, pour maintenir une confidentialité avec nos clients. Et nous voulions travailler dans un bureau et non chez nous.

                Quels bénéfices vois-tu pour ton activité aujourd’hui ?

                Nous ne pouvons pas arrêter nos activités même en vacances. A Autrans, nous pouvons maintenir notre activité comme si nous étions à Montréal. C’est une ressource qui est importante pour nous et pour nos clients.

                Quels bénéfices vois-tu à titre personnel? 

                L’endroit est très apaisant. Ça nous donne un autre cadre de travail, dans un autre rythme, une autre atmosphère, qui a un effet relaxant. Ce changement de cadre est assez bénéfique. Ça nous permet de rester proche de notre famille en toute sérénité lorsque l’on vient en France.

                Peux-tu me raconter une pépite/anecdote du coworking ?

                Ce qui est toujours drôle, c’est quand on fait une visio depuis Autrans, nos clients sont certains que nous sommes dans nos bureaux au Canada. Mais comme la cloche du village sonne toutes les heures, l’illusion ne dure pas longtemps. 😉

                Un dernier mot à partager sur le coworking ?

                Nous apprécions vraiment les services du co-working. C’est un plus pour Autrans, pour le développement de l’activité locale et pour notre activité. Nous souhaitons la pérennité et le développement d’Utopic.